Cat Douce Chatte

Cat Douce Chatte

LES FLAGELLATIONS SONT UN ART

ET LE CORPS EN EST LA TOILE

 

 Les Flagellations aussi diverses que variées, ont cette surprenante révélation sur les chairs de résonner différemment, de donner des douleurs qui ne se ressemblent jamais, et de dessiner sur la peau, des zébrures, autant de lignes, qui se marquent et se démarquent, par leurs largeurs, leurs épaisseurs, leurs profondeurs, et leurs couleurs…

 

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Le Fouet fendant l’air à ce vice de se faire silencieux quand en une fraction de secondes, il est lancé par le poignet qui le tient, dans un claquement sec, précis, il s’abat sur les chairs comme une lame qui vous brûle. Au fil de ses frappes, je ressens parfois cette impression qu’il me taillade, me saigne les fesses, les cuisses et le corps.. Ses petits coups francs, nets, rapides, sont un peu comme des sortes d’éclairs furtifs, une douleurs nette perçue sur l‘extérieur de ma peau, comme une forte piqure sur mon épiderme, à l’opposé, ses points d’impacts plus plus puisssants et plus prononcés, donnent la sensation de faire résonner tout l’intérieur du corps, comme si il envoyait la douleur autant en surface que dans l’intérieur des chairs, souffrance qui dure quelques secondes et qui me donne cette perception de l’épaisseur de son tressage..

 

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La Canne, aussi fine ou épaisse soit elle, vous intègre en une demie fraction de seconde, une montée de pression qui met en soi une sorte de tremblement, car elle lâche une sorte de sifflement à peine audible, quand elle fend l’air pour s’abattre sur le corps..

Je la ressens ardente, coupante et saignante, martelant sèchement et fermement ma peau, elle est comme un tison brûlant et tisse immédiatement les lignes rougeâtres, de ses marquages, dans mon esprit je peux ressentir sa brûlure s’étaler sur tout le long de la ligne qu’elle vient d’imprégner sur ma chair, presque je peux deviner le dessin qu’elle incruste sur ma peau qui se dessine dans mon esprit sous chaque de ses zébrures..

 

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La Ceinture, par sa largeur et sa matière ne donne pas le sentiment de fendre la chair, ne donne pas le sentiment de traverser la peau, elle donne de la chaleur mais ne fait ressentir de la douleur que sur la surface qu’elle tanne.. La douleur aussi forte soit elle n’entre pas dans le corps mais ne le met en souffrance que en extérieur. On en ressent le plat et cette sorte d’épaisseur de ses frappes, un peu comme une longue main qui serait plus étroite que la main du Mâle.. Elle claque mais dans l’esprit on en perçoit sa résonnance dans une sorte d’écho. Elle donne une sensation de chaleur en continue et on a ce sentiment qu’elle nous durcit la peau des fesses..

 

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Le Martinet tel une pieuvre, par ses multiples lanières frappe en prenant plus de surface à la fois, mais curieusement on n’arrive pas à dissocier, les frappes des différentes cordes, on a ce ressenti qu’il frappe et touche pèle mêle plusieurs endroits en même temps, en s’éparpillant, comme si il flagellait les parties de corps non pas sur des zones précises mais plus sur des morceaux de surface.. Il cingle, mais on a pas le sentiment qu’il nous pénètre les chairs comme seul le fouet en fait ressentir cette impression..

 

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La Cravache, elle est rigide, elle frappe sèchement, et la sècheresse franche de ses impacts pose sur le corps, sur les chairs, des douleurs violentes toujours à un point très précis, celui où son embout plat a claqué.. Une chauffe violente et pénétrante, d’une résonnance grave et non aigüe, bien sûr je parle de frappes franches, forte et non de ces frappes que l’on voit souvent sur le net qui sont de simples « tapotages » servant plus à faire un peu de bruit que de fesser réellement le cul…

 

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J’ai grand plaisir à ce que Mon Maître prennent mes douleurs pour ses vices et plaisirs, sous ses mains, sous son fouet, sous son poignet qui me canne, j’ai le sentiment que tel un artiste, il fait de mon corps Son Oeuvre d’Art..Le prix de mes souffrances, est de voir et sentir sa satisfaction quand ses mains caressent ma peau gonflée ou boursouflée, lui donnant la chaleur que mes chairs dégagent, et son regard qui admire mon corps rougi, recouvert de zébrures et de ses marques, corps devenu « la toile du Maître »…

 

« Cat Douce Chatte soumise de Transformateur »

Note : Les Marques sur les Photos sont de Fouet ou de Canne

Ven 21 jun 2013 Aucun commentaire