Cat Douce Chatte
Cat Douce Chatte
SOUMISE A FLAGELLATIONS...
ENCHAINEMENT DE FOUET ET DE CANNE
La nature humaine est si complexe, imprévisible, surprenante, que lorsque l’on porte un regard sur soi même, on arrive encore et toujours à se surprendre, à s’étonner et en permanence à toujours découvrir un peu plus de ce qui est au plus profond de nous.
On se connait bien, si bien, que parfois si on s’analyse, si l’on creuse au fond de soi, on se doit de se poser en spectateur, pour découvrir que dans ce que nous sommes, il y a une grande part d’inconnu..
Je me pose souvent ces questions de savoir Comment moi qui ne suis pas maso, j’arrive à endurer, à supporter tant de flagellations, tandis qu’elles me déchirent les chairs, qu’elles me meurtrissent à en hurler, comment j’arrive à parfois conditionner mon esprit et puiser dans ma volonté pour d’autres fois retenir mes cris, tandis que le fouet me cingle, ou que la canne me frappe si violemment.
Les Marques se suivent et ne se ressemblent pas, mais les douleurs sont toujours foudroyantes, brûlantes, cinglantes et agressives
Les marques se posent et s’imposent sur ma peau si délicate, et les douleurs
Toujours font gonfler, boursoufler, rougir et bleuir mes chairs.
Je crie, je hurle, je me tords, soumise en supplice, offerte, impuissante
L’horloge du temps semble s’arrêter à peine les flagellations commencées
Pas de demi mesure, les secondes ressemblent à des minutes,
Les minutes paraissent des quarts d’heures, pieds et poings liés
Soumise au pilori qui dans son endurance donne ses souffrances
Soumise au bon plaisir de toute jouissance de frappes à Mon Maître.
Ce jour là offerte de face, le corps si fébrile, l’esprit si craintif, Le fouet fit son office, me zébra, me tanna la peau, me fit me tordre bien plus qu’un vermisseau, me cambrer plus qu’une gazelle, et donner à mes cris un écho plus retentissant qu’un son lâché au bord d’une falaise.
La main de Mon Maître devait avoir faim, car il l’a garnit après son Fouet de la canne en bambou, pour perpétuer son bon plaisir, pour se nourrir de ce délice si excitant de prendre mes douleurs offertes.
Forte et longue fut ce jour là les flagellations, tout le devant de mon corps en reçu les frappes, mes cuisses, mon ventre, mes côtes, ma poitrine, et les bras entravés en l’air, les côtés de mes dessous de bras..
Je ne suis pas Maso, et ce sera toujours un mystère pour moi de voir et ne pas savoir où et comment je prends cette force d’endurance de ces si douloureuses flagellations.
Mon esprit devient de plus en plus vicieux et pervers, je me suis surprise à songer vouloir être fouettée au dessus d’une falaise pour que résonnent à l’infini mes cris et que j’ai le sentiment que lorsqu’ils s’échappent de moi pendant mes douleurs, ils soient plus traducteurs de ce que je ressens dans mes chairs.
« Cat Douce Chatte soumise de Transformateur »
Réponse de Cat à >>> nabuccho Com N° 1
Bonjour..Comment cela c'est la loi des 500 signatures??? et qu'entendez vous par " vous votez pour Mon Maître"???
humour : pour la présidentielle, il faut 500 signatures pour pouvoir se présenter..
bon, c'est tombé à plat.Désolé.
Réponse de Cat à >>> nabuccho Com N° 2
Oups : Non c'est moi qui était à l'Ouest, cela doit être mon côté blond, même par décoloration, parfois cela me fait des trous d'air sur la concentration à réfléchir.. Lol
Bonjour Cat.
Lorsque je regarde ces photos de vos chairs torturées, je ne comprends pas !!!
La définition du masochisme dans le dictionnaire est limpide. Vous dites ne pas être "maso". J'aurai plutôt tendance à dire que vous n'êtes pas consciente de cet aspect de votre "moi", cette option n'engageant que moi.
Bien des personnes ont eu maille à partir avec la justice pour des faits moins graves que ceux montrés par ces photos. Comment peux-ton avoir un tel plaisir à marquer une femme de la sorte, qu'elle soit soumise ou pas, SM ou pas. C'est de la torture pure et simple à mes yeux. Vous vous posez la question de savoir comment vous avez pu supporter et accepter ces flagellations. Il vous serez peut-être utile pour la suite de votre vie, d'approfondir ce sujet. Vous affirmez par ailleurs pouvoir être soumise sans la souffrance, alors je ne comprends pas.
Autant j'ai un réel plaisir, à vous voir nue ou légérement vêtue, dans des poses plus ou moins suggestives, que je ressens du dégoût envers l'auteur des marques sur votre corps après une séance. Je préfère ne pas parler de ses commentaires (que vous devez connaître) sur son site sur le sujet. J'ai même lu dans une de ses réponses, qu'il conseillait à un commentareur, d'aller se faire soigner... alors là, il remporte le pompon...
Ne vous trompez pas sur mes propos Cat, je ne suis pas ici pour être le père Fouettard. J'ai toujours exprimé ce que je ressentais et comme je le pensais.
Je terminerai sur mes propos : Vous affirmez avoir toujours tout fait pour prendre soin de votre corps et comme je l'ai déjà dit, c'est une réussite. Alors pourquoi laisser faire de telles marques sur vous, d'autant plus que cela n'est pas sans danger ? Il reste des traces au fond de soit.
A t'on besoin de faire souffrir pour aimer ou être aimé ?
Finalement j'aurai tendance à penser et à dire que c'est bien pour vous que cette histoire ait pris fin.
A une prochaine fois Cat.
Dupont.
Réponse de Cat à >>> dupont Com N° 3
Bonjour... Non je vous confirme ne pas être maso. Je ne ressens aucun plaisir à avoir des douleurs, mais si mon dominant en ressent lui du plaisir au travers des pratiques qu'il affectionne, alors je suis contente de lui offrir mes douleurs.. Je ne pourrai pas moi expliquer ce qu'est le plaisir des dominants qui aiment marquer le corps d'une femme, car les émotions intérieures qu'ils en ressentent je ne peux pas moi les ressentir de la même manière que celui qui inflige. Cependant j'ai souvent posé la question car cela m'intriguais de savoir comment ils ressentent cela en eux. Majoritairement, et mon dominant me disait aussi cela, ils aiment en voir les dessins s'imprégner sur la peau, sur les chairs, ils aiment au départ entendre les claquements, voir la soumise se cambrer ou se tordre sous les douleurs, ou l'entendre gémir ou crier, et les marques, ils aimes les voir, en sentir les boursouflures sous leurs doigts ensuites... J'ai réfléchi a cela, et en fait j'en suis arrivé à comprendre, que le mixe du son des claquements associé aux cris et aux mouvements du corps qui se tord, sursaute, apporte au dominant des sensations qui les pénètre, les excite. Ensuite au final les marques représentent une sorte d'oeuvre éphémère visuelle, elle représente une manière d'immortaliser ce qu'ils viennent de vivre au travers de la pratique qu'il viennent d'infliger.. Et je crois enfin que un peu comme un artiste qui dessine une toile et qui plus il peint et plus il aura sur ses prochaines toiles le besoin d'ajouter plus de couleurs et plus de détails, que le dominant alors a lui aussi ce besoin de voir plus de marques, plus de couleurs, et peut être plus profondes, mais aussi que cette sorte d'oeuvre vivante qu'il vient de faire il en a le besoin que elle se conserve sur le corps plus longtemps avant de s'effacer.
Je me suis demandé oui comment surtout j'avais pu réussir à trouver autant de force en moi, qui ne supporte pas et craint la douleur à être si robuste, si endurante, et endurante au point de meme réussir à gérer les durées des flagellations autant que réussir tandis que elles étaient vraiment tres fortes à maitriser de si peu et si rarement hurler pendant ces moments là. Oui je dis que être soumise n'est pas nécessairement lié à la souffrance, car de base la soumission est lié avant tout à la servitude, mais si des dominants nous l'impose, et la souhaite, soumise on s'y plie. J'ai en effet vu son commentaires, et d autres où il fait savoir a des types complètement détraqués d'aller se faire soigner, et où j'avais lu ce que ces gens ( enfin souvent c était le même gars qui jouait a changer de nom)suggéraient de me faire et où je m étais dis que il fallait vraiment être un malade pour tenir de tels propos.
J'aime prendre soin de mon corps, mais il est vrai que lorsque j'offre mes douleurs, que je sais que cela va me marquer, je ne pense pas à moi alors à cet instant, mais à ce que cela va offrir de plaisir a mon dominant. Je sais que mon corps lui au bout d un moment verra les marques disparaitre.. J'ai tendance à me dire que c'est bien peu à endurer à côté de tout ce que de grand cela apporte à celui qui le reçoit.. à une prochaine fois.
bonjour Cat,
C'est la loi des 500 signatures (marques) ?
de toute façon, je vote pour votre maître.