Cat Douce Chatte

Cat Douce Chatte

SOUMISE FEMELLE SENSUELLE OU… SOUS-MISE

"Entre mon CHIC mon CHOC"

Tenues en Parades, ou détenue sans retenue dans une nudité qu’Eve première des Femmes, sans doute un peu femelle lorsque l’on songe à cette histoire de pomme fut en toute légitimité à mes yeux le symbole de mon impudeur, quand « Femme, soumise ou femelle » elle est devenue ma référence, et qu’elle me conforte de ne considérer le vêtement que tel une parure pour se sublimer ou tel un uniforme pour ne pas choquer par la nudité que l’on a par principe nommée la « Tenue d’Eve »..

 

Fait curieux que l’histoire n’ait jamais à égal retenue l’expression « être en Tenue d’Adam» lorsqu’un Mâle se dévoile, et se met lui à nu, sans doute si l’on y songe de plus près, par le fait qu’il fut prévu de ne n’accorder attractive « L’impudeur » que propre à la femelle,  ainsi à nue et pourtant demeurant être une énigme, et redonner de la grandeur et mystère aux Mâles, en ne retenant alors que cette armure combative, de la force et de la rigueur, que les temps passés, ont révélé à la « Soumise », comme étant «Le Mâle» par Excellence, dans toute sa splendeur, sa force et sa rigueur, lui donnant à nos yeux cette beauté au titre de : « Seigneur et Maître »..

 

La Femelle à ceci de commun avec les « Caméléons », qu’elle se transforme au gré de ses atours, ainsi « Tenue d’Eve », représentation de la pureté, dans une nudité qui semble la fragiliser et lui donner en ce même temps de la légèreté.

Formes et courbes dévoilées, inspiratrice de la sensualité, fer de lance qui perfore les hormones du Mâle, lui instituant en ses sens la rudesse du « Rut animal », dans sa possession de la femelle au plus profond de ses chairs..

 

« Tenue de Soirée », celle qui révéla Rita Hayworth dans « Gilda  », dont ma Photothèque faute de Galas, ne contient pas cette robe, que je ne désespère pas un jour de revêtir, Moulante sur la longueur du corps, à l’inverse d’une descente des marches, soumise montant s’étendre ainsi sur un Autel balançant sa chute de reins.. Sorte de mélange de Pureté et de Sagesse enveloppée dans des tenues recouvrant alors son corps et pourtant révélant toutes les formes de ses courbes, mélange qui devient si troublant de la Femelle qui aurait l’apparence de « Femme Fatale » renforçant sous le regard tous les mystères intérieurs de sa Soumission..

 

« Tenue de Ville » ou bien de jour, si diverses et variées, « Soumise en Féminité » qu’au son d’un clic clac régulier résonnant sur le bitume de ses petits pas enchaussés de talons aiguilles, semble marcher sur la cadence orchestrée par un métronome.

Presque le sentiment au travers des jambes gainées qui s’entrecroisent, que l’horloge du temps marque les secondes de ses claquements de pieds.. Robes ou jupes deviennent aériennes dans la légèreté de la démarche..

 

Notre Siècle affiche tant de tenues de la plus féminine, à la plus décontractée, que toutes les combinaisons de chacune, deviennent infinies, autant dans le féminin que le décontracté… Reste à voir ce qui est le plus esthétique, ou le plus pratique, le plus sensuel ou le plus rebelle, le plus sexy ou le plus anodin, le plus attractif ou érotique ou le plus banal et anonyme, ou encore le plus envoûtant et troublant ou le plus souillon et décousu de sens du Féminin..

 

Femme j’eu aimé gouté sur ma peau en parure, la Robe de la « Pompadour », et pouvoir me jouer des époques, tandis que je me moule en notre temps dans des tenues bien souvent très courtes, avec cette sorte de clin d’œil dans certains vêtements transparents ou bien dans les nuisettes qui j’en suis certaine auraient été « le pêché d’Eve »..

J’eu aimé, curieuse, traverser les époques, et me travestir au fil du temps d’un peu de chacune d’elles..

«Cat Douce Chatte soumise de Transformateur　»